S’il y a bien un modèle voiture qui est attendu, c’est la Tesla Model 2. Plusieurs fois évoquée par Elon Musk, nous savons peu de choses à son sujet. Ce qui laisse l’opportunité de dire tout et n’importe quoi, mais surtout d’imaginer cette Tesla abordable.

Faisons le point.

La Révélation du Robotaxi de Tesla Prévue pour le 8 Août

Le constructeur américain de véhicules électriques Tesla prévoit de dévoiler son « robotaxi », un véhicule entièrement autonome, le 8 août, comme l’a annoncé Elon Musk sur son réseau social X. Ce développement très attendu pourrait redéfinir les normes de la mobilité urbaine et soulève déjà un intérêt considérable. Elon Musk, caractérisant le futur robotaxi comme « surhumain », a suscité une vague d’excitation et d’anticipation. Suite à cette annonce, l’action de Tesla a connu une hausse significative de 6% dans les échanges post-clôture à la Bourse de New York. Cet article explore les implications de cette avancée technologique et son impact potentiel sur la société.

Comprendre le concept : Vision de Tesla pour les Robotaxis

Tesla envisage de transformer sa flotte de véhicules électriques en robotaxis autonomes qui pourront offrir des services de covoiturage sans intervention humaine. Ce modèle promet de révolutionner l’industrie du transport en réduisant les coûts de mobilité, en augmentant l’accessibilité et en minimisant les congestions urbaines et la pollution. Le projet de robotaxi de Tesla s’inscrit dans une vision plus large d’une mobilité durable et efficace, potentiellement sans propriété de véhicule personnel pour les usagers.

Les rendus par Sugar-Design: Visualiser le Futur

Sugar-Design, célèbre pour ses rendus visuels captivants, a interprété artistiquement la vision technique de Tesla, créant des images qui incarnent la sophistication et l’avant-garde des robotaxis. Ces rendus mettent en avant un design épuré, avec une carrosserie aérodynamique optimisée pour l’efficacité énergétique et des intérieurs axés sur le confort maximal des passagers, sans poste de pilotage.

Implications sociales et urbanistiques

La mise en service de robotaxis pourrait transformer radicalement nos villes et notre manière de vivre :

  • Réduction de la nécessité de posséder une voiture: Les robotaxis disponibles à la demande pourraient décourager la possession individuelle de voitures, libérant ainsi de l’espace urbain actuellement occupé par le stationnement.
  • Optimisation de la gestion du trafic: Les technologies autonomes peuvent réduire significativement les bouchons et améliorer l’efficacité du trafic grâce à une coordination et une régulation optimisées.
  • Transformations économiques: Le modèle économique du covoiturage sera probablement bouleversé, affectant les emplois traditionnels liés à la conduite tout en créant de nouvelles opportunités dans les secteurs de la technologie et de la maintenance.

Défis à relever

Le déploiement des robotaxis n’est pas exempt de défis :

  • Approbations réglementaires: L’acceptation réglementaire complète, essentielle pour l’opération des véhicules autonomes, varie selon les juridictions et nécessite des preuves robustes de sécurité.
  • Barrières technologiques: Atteindre une autonomie complète (niveau 5) demeure un défi majeur qui requiert des avancées significatives en matière de technologie et d’intelligence artificielle.
  • Acceptation publique: Gagner la confiance du public envers des véhicules totalement autonomes est crucial pour une adoption généralisée.

Conclusion

La présentation imminente du robotaxi de Tesla symbolise un moment pivot dans l’histoire de la mobilité autonome. Avec des promesses de performance « surhumaine », ce lancement pourrait bien être le début d’une nouvelle ère dans le transport urbain. En attendant la révélation officielle le 8 août, le monde retient son souffle, prêt à accueillir une vision futuriste qui pourrait très bientôt devenir une réalité quotidienne.

Portrait robot de la Tesla Model 2

Voici un portrait robot de la Tesla Model 2, basé sur les informations présentées dans notre article :

CaractéristiqueDescription
NomLa voiture pourrait être appelée Tesla Model 2, mais ce n’est pas confirmé. Elle est également parfois appelée Robotaxi.
PrixLe prix de la voiture devrait être d’environ 25 000 dollars (23 500 euros).
TailleLa voiture devrait être plus petite que la Tesla Model 3, qui mesure 4,69 mètres de long, et la Model Y, qui mesure 4,75 mètres de long.
AutonomieIl n’y a pas d’information sur l’autonomie de la voiture, mais il est peu probable qu’elle soit capable de conduite autonome de niveau 5, comme le suggèrent certaines rumeurs.
ProductionLa voiture devrait être produite en Chine, où Tesla possède une usine très productive à Shanghai. Tesla a également annoncé travailler sur une nouvelle plateforme de production.
Date de sortieLa date de sortie de la Tesla Model 2 n’est pas connue, mais il est peu probable qu’elle soit disponible avant plusieurs années.
BatterieLa voiture pourrait utiliser les nouvelles cellules au format 4680, qui permettent à Tesla de contrôler les coûts de production.
ObjectifLa Tesla Model 2 est conçue pour répondre à une demande de voitures électriques moins chères et plus petites, notamment en Europe et en Asie, où les voitures de petite taille sont plus populaires.

Update 30/08/2022 : Aujourd’hui, la rumeur est de moins en moins présente. En effet, les livraisons des Tesla Semi sont en train de démarrer aux US. La pression est importante pour voir un Cybertruck livré aux US en 2023 et la Tesla Roadster (nouveau modèle présenté) n’est pas encore évoqué avec une date de livraison.

Nous souhaitons donc modérer les propos contenus dans ce billet tant que nous n’avons pas de nouveaux éléments. Il faudra donc attendre septembre ou octobre 2022 pour voir si la rumeur se réactive.

Néanmoins, n’hésitez pas à réagir en commentaire sur l’intérêt de voir débarquer une Tesla au prix d’une Zoé.

Tesla Model S

D’où est venue l’idée de cette nouvelle Tesla à Elon Musk ? 

Actuellement, la voiture électrique Tesla la moins chère du catalogue est une berline. C’est la Tesla Model 3 Standard Plus (SR+), que l’on peut acheter en France pour 53 490 euros. C’est le ticket d’entrée chez Tesla mais beaucoup espèrent la création ainsi que la mise sur le marché d’une voiture plus compacte et bien moins onéreuse.

Tesla n’a jamais communiqué directement dessus, mais Elon Musk a évoqué une compacte électrique qui se situerait sous la Model 3 dans la gamme. D’après les rumeurs, elle se nommerait Model 2 ou Model Q ou encore Model A…

Et avec la construction de nouvelles Gigafactory, dont celle au Texas et en Allemagne, Tesla est en train de mettre en place une production à grande échelle. 

Lire également :  VIDEO - Pourquoi la Tesla Model 3 highland (2024) n'est pas pour toi ?

Le souhait d’Elon Musk de démocratiser ses véhicules 100 % électriques au plus grand nombre pourrait donc passer une nouvelle étape. Néanmoins, cela reste un segment très concurrentiel, plusieurs modèles compacts trônent déjà sur le classement des voitures électriques les plus vendues en France.

La Tesla Model 2 est une rumeur tenace

La Tesla Model 2 devrait néanmoins entrer en piste, à l’horizon 2023/2024, en vue de concurrencer la Volkswagen ID.3. Longue d’environ 4,40 m, elle serait prioritaire pour le marché européen et assemblée sur le continent européen, très certainement à Berlin.

Avec l’ouverture récente de la Gigafactory allemande, c’est l’ouverture d’un centre de design dédié, qui accouchera probablement de cette future Model 2.

Ce nouveau modèle permettrait ainsi à Elon Musk de concurrencer les constructeurs auto européens directement sur leur sol, tout en accédant aux souhaits des fans de Tesla aux moyens limités. La Tesla Model 2 pourrait ainsi être bien plus qu’un nouveau véhicule. Elle pourrait même être la voiture qui changera complètement le marché des véhicules électriques

En effet, les voitures électriques étaient destinées, jusqu’à présent, à deux types de personnes : celles qui avaient de l’argent, et celles qui se résignaient à vivre dans l’espoir que partout où elles allaient, elles auraient des chargeurs pour alimenter leur autonomie de moins de 100 kilomètres.

Mais s’il y a une chose qui caractérise les créations d’Elon Musk, c’est qu’elles surprennent. C’est le cas du modèle Tesla 2, qui réunit les deux mondes. Et le résultat est une voiture électrique du plus célèbre fabricant de voitures électriques du moment, à un prix abordable.

Il s’agit d’un ouvrage urbain en deux volumes dont l’esthétique est basée sur la berline Tesla Model 3 et la Tesla Model Y. Bien entendu, il sera entièrement électrique et sera créé spécifiquement pour la ville. 

Le designer brésilien Kleber Silva vient de dévoiler les premières images du véhicule, illustrées par lui-même. On y voit le nez à bec iconique des voitures Tesla, avec un arrière aplati et un format compact. Le modèle, sur lequel Tesla travaille actuellement, exigera de l’équipe créative qu’elle redessine complètement l’arrière du véhicule.

Quels scénarios ont été envisagés ? 

Si l’on pensait au début que cette nouvelle création serait chinoise, il est désormais certain que la compacte de Tesla naîtra en Allemagne. Le patron de Tesla n’ayant pas la langue dans sa poche, il a répondu du tac au tac à un jeune twittos.

Ce dernier lui expliquait que le Tesla Model Y est encore trop immense pour certaines villes européennes et qu’il faudrait songer à commercialiser un modèle plus petit et plus adapté aux villes du Vieux Continent. 

Elon Musk a alors précisé que ce modèle pourrait être dessiné et produit en Allemagne (une information qui a été officialisée depuis). Il ne faut pas plus pour comprendre que la compacte, ou la citadine, de Tesla pourrait être désignée chez nos amis allemands, et qu’elle pourrait par la même occasion être produite dans la nouvelle usine de Tesla, celle que le constructeur californien est en train de bâtir près de Berlin.

Ce qui est bien avec cet homme, c’est qu’il ne passe pas par quatre chemins. Souvent, sur Twitter, son réseau social préféré, il répond avec précisions aux questions que les internautes lui posent, quitte à révéler des informations que le département de communication de Tesla aurait préféré garder secret. 

Celle que l’on surnomme déjà la Tesla Model 2 pourrait voir la lumière du jour en 2025. Les rumeurs précédentes annonçaient qu’elle serait produite en Chine, mais finalement, avec cette nouvelle déclaration de Musk, tout porte à croire que ladite Model 2 serait construite tout proche de nos frontières. 

Pour l’heure, nous n’avons aucune idée de ce à quoi elle ressemblera, mais il est clair qu’elle sera apparentée à la Tesla Model 3, elle-même inspirée de la Model S et du Model X. Jusque-là, Tesla a toujours proposé un contenu technologique fort intéressant, espérons que cette Model 2 vienne mettre un coup de pied dans un segment hyper concurrentiel. 

Pour quel prix ? 

On critique parfois la firme californienne pour le caractère élitiste de sa gamme. Aujourd’hui encore, il faut débourser 50 000 €, au minimum, pour s’offrir une Tesla.

Mais l’histoire nous a prouvé que la démocratisation d’une nouvelle technologie passe obligatoirement par son lancement commercial en haut de gamme, pour espérer un retour sur investissement grâce à de belles marges, en vue d’investir les créneaux inférieurs par la suite. 

Depuis 2021, le succès rencontré par les Model S et Model X ont permis de financer le développement de véhicules plus accessibles, incarnés par les Model 3 et Model Y. Eux-mêmes, grâce à la maîtrise de leur production à grande échelle, permettront bientôt à Tesla d’entrer dans une nouvelle ère, en vue de démocratiser ses véhicules 100% électriques au plus grand nombre.

Selon Elon Musk, il faut s’attendre à un prix situé sous les 25 000 dollars pour la Tesla Model 2. On peut imaginer une conversion bête et méchante à 25 000 euros en Europe ou une équivalence plus honnête qui abaisserait le prix à 20 600 euros.

Cela sera évidemment une alternative à la Renault Zoé et à la Peugeot e-208 qui trônent dans le classement des voitures électriques les plus vendues en France en 2021, derrière la Model 3.

Ainsi, s’il y a quelque chose qui attire l’attention sur le modèle Tesla 2, c’est son prix. Pour permettre une telle baisse, il ne suffira pas de réduire la taille du véhicule. Il faudra aussi faire des concessions, probablement en termes d’autonomie et de puissance.

Mais les concessions ne sont peut-être pas aussi importantes qu’on pourrait le penser. 

La réalisation de cet objectif représente un grand défi, et tout se jouera autour de l’optimisation de la production et des nouvelles batteries. De plus, une partie importante des économies sera réalisée, de manière prévisible, côté fabrication : le Tesla Model 2 sera le premier modèle de maison à être produit en dehors des États-Unis. 

Et concernant l’autonomie de cette Tesla Model 2 ?

Selon les plans de Tesla, les accumulateurs de nouvelle génération permettront de réduire les coûts en passant sous le seuil de 100 dollars par kWh, tout en promettant jusqu’à 16% d’autonomie supplémentaire à capacité égale. 

Selon les estimations, la petite Tesla atteindra une autonomie de 400 kilomètres avec une seule charge et une batterie de 50 kWh. Lorsqu’elle prendra la route en 2023, ou avant, la voiture électrique concrétisera le projet imaginé par Elon Musk en 2006.

Elle devrait même proposer une autonomie pouvant atteindre jusqu’à 600 km, dans sa version la plus huppée. On peut également imaginer qu’une variante sportive, développant l’équivalent de 400 ch, viendra soutenir son image, à plus long terme.

Pour quand ? 

Lors du Battery Day de 2020, Elon Musk avait révélé que la compacte électrique sortirait en 2023. Récemment, un des spécialistes de la marque Tesla en Chine a d’ailleurs évoqué le développement très avancé de la compacte électrique. Selon lui, elle serait produite en modèle d’essai fin 2021. 

Lire également :  Tesla pourrait acheter une entreprise de recharge sans fil pour véhicules électriques

Elon Musk a prévu de prendre la parole le 19 août 2021, Tesla organise une journée thématique vouée à la présentation de nouveautés technologiques. Le but de cet événement n’est pas tant d’annoncer ce qui va arriver sur la flotte de véhicules du constructeur, mais plutôt de recruter des talents intéressés par les problématiques liées à l’intelligence artificielle. Néanmoins, ce nouveau modèle pourrait encore être évoqué lors de cet événement.

L’esthétisme et la sécurité de ce modèle…. sans oublier son aspect concurrentiel ! 

À quoi ressemblerait-elle ? 

Tesla Model 2
Vision Design de la Tesla Model 2 ?

D’après les rumeurs, la Model 2 serait une compacte, 100 % électrique évidemment, équipée d’un hayon à l’arrière avec 5 portes. La voiture devrait être proposée en différentes versions à deux ou quatre roues motrices avec des moteurs électriques sur chacun des deux essieux. 

La compacte s’appuiera donc sur une silhouette deux volumes, mais restera fidèle à une architecture 5 portes. Elle pourrait toutefois afficher une assiette surélevée pour optimiser son espace intérieur, à l’image de ce que proposera le futur modèle de Renault. Dans l’habitacle, la Model 2 devrait reconduire l’environnement épuré des productions actuelles de Tesla. 

Il y a également des rumeurs qui concerneraient deux modèles différents. Un pour l’Europe, avec une carrosserie classique à hayon, l’autre pour la Chine, qui adopterait une carrosserie crossover. Espérons que le futur bureau de style allemand instillera un supplément d’âme à ce futur cockpit, ainsi qu’à son dessin extérieur !

Mais le travail est encore long : il faut assembler une équipe de concepteurs et, surtout, il faut un certain nombre de cellules de batterie 4680. La firme californienne travaille déjà sur les deux fronts pour accélérer au maximum l’arrivée sur le marché de la « petite Tesla ».

La question de la fabrication des batteries 4680…

C’est ici que réside le problème : la fabrication de ces cellules est difficile. Beaucoup s’y essaient, de BAK à LG, en passant par Panasonic et Tesla elle-même, mais personne n’a dépassé le stade de la présérie. Fabriquer des prototypes est une chose, les produire à grande échelle en est une autre. Si certains experts se demandent si cette tâche n’est pas perdue d’avance, Panasonic affirme qu’elle touche au but et Elon Musk vise une production de 20 millions d’exemplaires d’ici 2030.

Dans une interview accordée à Bloomberg, Yasuaki Takamoto, responsable de la division des batteries de l’entreprise japonaise, a déclaré que “la production de cellules 4680 requiert des compétences extraordinaires, notamment parce qu’il faut fabriquer un produit sûr. Le simple fait de pouvoir créer des systèmes garantissant une sécurité donne à Panasonic un avantage sur ses concurrents”. Il s’agit avant tout de sécurité. 

Selon Panasonic, il sera bientôt possible d’atteindre le stade de production à grande échelle pour les cellules 4680 tout en respectant les normes de performance et de fiabilité exigées par le marché ainsi qu’en résolvant deux principaux problèmes : la surchauffe et la contamination. 

Concernant la surchauffe : les grandes dimensions des cellules 4680 dispersent moins bien la chaleur, avec pour conséquence un risque d’augmentation des températures et une perte d’efficacité. Quant à la contamination : étant plus grande, il est plus facile pour de minuscules morceaux de métal d’atteindre le centre de la cellule et de provoquer des courts-circuits.

Vaincre la concurrence 

Pour performer plus efficacement en Europe, Tesla doit se battre à armes égales avec les constructeurs locaux. Une stratégie qui tient en trois points : un modèle à la bonne taille, dessiné et fabriqué sur place. La marque envisage sérieusement d’investir le marché européen des véhicules électriques compacts et pour cela, la firme du charismatique Elon Musk s’en donnera les moyens. 

En effet, même si depuis ses débuts le constructeur américain n’a cessé de descendre en gamme et de proposer, à chaque fois, un nouveau modèle plus petit que le précèdent, Tesla ne s’est encore jamais attaqué au marché principal de la vieille Europe : les compactes. 

A titre d’exemple, le plus court des modèles du catalogue, la Tesla Model 3 a un gabarit de 4,69 m, format qui l’assimile au segment des berlines familiales, telle une Peugeot 508 (4,75 m) ou une Volkswagen Passat (4,77 m) tandis que celui d’une berline compacte demeure, en moyenne, aux environs des 4,30 m. 

En d’autres termes, Elon Musk doit sortir de son chapeau une nouvelle poupée russe. Le P-DG de Tesla a d’ailleurs déclaré, ce mardi 24 novembre 2020, à l’occasion d’une conférence européenne sur les batteries, à l’initiative du gouvernement allemand : “En Europe, cela pourrait avoir un sens de faire, j’imagine, une voiture compacte, peut-être une cinq portes ou quelque chose comme cela”… 

Nous faisons le point sur le véhicule à 25000€ évoqué plusieurs fois par Elon Musk, sans jamais confirmer le nom de Tesla Model 2. Ce véhicule pourrait faire basculer le monde automobile dans une nouvelle ère. En effet, si la Dacia Spring est vendue à 16 800€, sur le plan de l’autonomie et du confort ce n’est pas vraiment le véhicule électrique qui permettra de faire une bascule.

Ce véhicule s’intégrerait pleinement dans la vision du constructeur. Avec un axe essentiel, le pilote automatique. En effet, Elon a dit que Tesla envisageait de supprimer le volant et les pédales de la Model 2 pour véritablement intégrer ce véhicule dans une nouvelle ère.

En tout cas, il s’agirait d’un véhicule entièrement électrique avec une esthétique basée sur la berline Tesla Model 3 et la Tesla Model Y, et conçue spécifiquement pour la ville.

On vous laisse découvrir le reste des détails techniques dans cet article… 

Une compacte électrique attendue !

C’est ainsi qu’à l’horizon 2023/2024, la Tesla Model 2 devrait entrer en piste, en vue de concurrencer également la nouvelle Renault Mégane E-Tech. Vivement la Tesla compacte et voyons comment elle influera sur la concurrence !

Ce que nous savons du design

Longue d’environ 4,40 m, elle serait prioritaire pour le marché européen, et donc assemblée sur notre continent. La firme a d’ailleurs posé ses valises à Berlin, pour faire sortir de terre sa nouvelle Gigafactory.

Ce complexe industriel devrait assembler des Model Y dès la fin 2021. Il accueillera également un centre de design dédié, qui accouchera probablement de cette future Model 2. 

Tesla pourrait cependant choisir de débuter l’assemblage en Chine en attendant que la Gigafactory de Berlin, toujours en cours de construction, soit totalement opérationnelle. Les informations sont encore peu nombreuses, tout comme son lieu de production, incertain. 

Prévue pour 2023, la future petite Tesla gagne un nouveau concept réalisé par un site américain, avec quelques détails et caractéristiques intéressantes.

Des portes Lamborghini

Un peu dans l’esprit du concept Apple de Vanarama, le designer a créé une Tesla virtuelle. Cette Model 2 prend la forme d’une citadine 3 portes largement inspirée par le Model Y et l’esquisse officielle. Elle hérite de son bouclier avant, des phares, poignées de portes et de ses jantes. L’arrière joue davantage la Model S via ses feux.

Pour l’accès à bord, l’absence de portes arrière est comblé par des portes pivotant vers l’avant, telle une Lamborghini Countach. Les sièges avant coulissent aussi pour un meilleur accueil. Par contre, rien de nouveau pour la planche de bord, identique à la Model S avec son grand écran central (il taillerait ici 13 pouces).

Lire également :  La véritable raison pour laquelle Tesla ne vendra pas le Model Y Juniper en Amérique en 2024

La compacte sera plus courte que la Model 3 (4,69 m) avec un gabarit plus proche des Volkswagen Golf ou ID.3 (4,26 m). Elle reprend logiquement quelques-uns des éléments de style de la Model 3 : absence de calandre, phares en amande, poignées rétractables…

A noter : Ce n‘est pas une citadine, car en 2023/2025 une compacte devrait mesurer entre 4,2 et 4,5 m. Pour certains, elle reste un peu trop grande; une citadine de 4 m peut (et doit) suffire !

Elle aura sans doute un aspect plus proche de la TMY, étant légèrement surélevée pour offrir une meilleure expérience de conduite. Mais elle devrait filer un sacré coup de vieux à nombre de productions existantes. 

Une compacte à moins de 30 000 € ?

On critique parfois la firme californienne pour le caractère élitiste de sa gamme. Aujourd’hui encore, il faut débourser 50 000 €, au minimum, pour s’offrir une Tesla. Mais l’histoire nous a prouvé que la démocratisation d’une nouvelle technologie passe obligatoirement par son lancement commercial en haut de gamme. On peut ensuite espérer un retour sur investissement grâce à de belles marges, en vue d’investir les créneaux inférieurs par la suite. 

Depuis 2021, le succès rencontré par les Model S et Model X ont permis de financer le développement de véhicules plus accessibles, incarnés par les Model 3 et Model Y. Eux-mêmes, grâce à la maîtrise de leur production à grande échelle, permettront bientôt à Tesla d’entrer dans une nouvelle ère.

Cela, en vue de démocratiser ses véhicules 100% électriques au plus grand nombre.

Mais s’il y a quelque chose qui attire l’attention sur le modèle Tesla 2, c’est bien son prix. Il a été annoncé que l’acheteur pourrait obtenir pour 25 000 dollars, soit environ 22 100 euros.

Pour inquiéter la Volkswagen ID.3, ainsi que la future Renault Mégane ZE, attendue fin 2021, Tesla devra réduire ses coûts de production de manière drastique. L’Allemande fait démarrer ses tarifs sous la barre des 38 000 €, hors aide de l’État, avec une autonomie de base de 330 km. 

Gageons que la future Tesla Model 2 fera mieux pour moins cher, d’ici sa sortie, forte de nouvelles avancées technologiques. Pour permettre une telle baisse de prix (le modèle le moins cher de la maison en ce moment est le Tesla Model 3, vendu pour près de 50 000 euros), il ne suffira pas de réduire la taille du véhicule.

Il faudra aussi faire des concessions, probablement en termes d’autonomie et de puissance. 

Mais les concessions ne sont peut-être pas aussi importantes qu’on pourrait le penser. Une partie importante des économies sera réalisée, de manière prévisible, côté fabrication : le Tesla Model 2 sera le premier modèle maison à être produit en dehors des États-Unis.

Elle devrait proposer une autonomie pouvant atteindre jusqu’à 600 km, dans sa version la plus huppée. On peut également imaginer qu’une variante sportive, développant l’équivalent de 400 ch, viendra soutenir son image, à plus long terme.

La future compacte électrique dispensée de volant ?

Côté style, la compacte s’appuiera sur une silhouette deux volumes, mais restera fidèle à une architecture 5 portes. Elle pourrait toutefois afficher une assiette surélevée pour optimiser son espace intérieur, à l’image de ce que proposera le futur modèle de Renault. 

Dans l’habitacle, la Model 2 devrait reconduire l’environnement épuré des productions actuelles de Tesla. Mais espérons que le futur bureau de style allemand instillera un supplément d’âme à ce futur cockpit, ainsi qu’à son dessin extérieur.

Si la voiture volante commence à voir le jour, la voiture sans volant n’est encore qu’un fantasme. Sauf pour la fantasque Elon Musk, qui veut vendre une voiture sans direction, si bien que la prochaine Tesla « Model 2 » d’entrée de gamme n’aurait pas de cerceau.

Après une tentative ratée avec le Model Y, le Model 2 pourrait présenter un habitacle… épuré. La nécessité d’installer un volant et des pédales dans la prochaine Tesla est donc questionnée. 

Tesla : vers une conduite autonome totale ?

Un nouveau système de conduite autonome équipera la prochaine compacte électrique à 25 000 $. Selon Musk, le système Full Self-Driving sera suffisamment au point en 2023, date de sortie prévisionnelle de la voiture, pour que la Model 2 puisse évoluer toute seule.

Après avoir réduit le volant à sa plus simple expression avec le Yoke, Tesla veut donc débarrasser l’intérieur de toute commande de direction. Une idée qui semble pour le moment bien farfelue, notamment à l’heure où l’Autopilot fait l’objet d’une enquête aux États-Unis.

Plus compacte, cette future Tesla utilisera très certainement des batteries LFP (lithium-fer-phosphate) d’origine CATL. La raison est un prix inférieur à la nouvelle génération « 4680 » qui équipera le Cybertruck ou le Model Y fabriqué en Europe.

La Tesla Model 2 s’appellera-t-elle seulement Model 2 ?

Actuellement, la voiture électrique Tesla la moins chère du catalogue est une berline. C’est la Tesla Model 3 Standard Plus (SR+), que l’on peut acheter en France pour 37 800 euros grâce au bonus écologique. C’est le ticket d’entrée chez Tesla.

Beaucoup espèrent désormais une voiture plus compacte et bien moins onéreuse.

S’il y a donc bien un modèle voiture qui est attendu, c’est la Tesla Model 2. Plusieurs fois évoquée par Elon Musk, nous savons peu de choses à son sujet. Tesla n’a jamais communiqué dessus directement, mais le milliardaire a évoqué une compacte électrique qui se situerait sous la Model 3 dans la gamme.

Photo de la Tesla Model 2 (nommée ici Model Q dans sa phase de conception)

D’après les rumeurs, elle se nommerait Model 2 ou Model Q ou encore Model A.

Jusqu’à maintenant, Musk avait nommé ses véhicules de façon précise pour former le mot SEXY. Lors d’une assemblée générale, il aurait cependant confirmé que la Model 2 ne s’appellera pas Model 2… sans toutefois préciser le nom de la future voiture électrique.

Ce qui est sûr c’est qu’avec la construction de nouvelles Gigafactory, dont celle au Texas et celle en Allemagne, Tesla est en train de mettre en place une production à grande échelle. Le souhait d’Elon Musk, de démocratiser ses véhicules 100 % électriques au plus grand nombre, pourrait donc passer une nouvelle étape. 

Néanmoins, cela reste un segment très concurrentiel. Plusieurs modèles compacts trônent déjà sur le classement des voitures électriques les plus vendues en France. Attendons de voir les surprises que peut nous réserver Tesla Model 2 – à moins qu’elle n’adopte un autre nom !

Tesla Model 2 : pourquoi on n’en reparlera pas de sitôt ?

L’Arlésienne fait souvent reparler d’elle, sans donner de véritable calendrier. Dès lors, quand peut réellement espérer voir arriver la Tesla Model 2 ?

Maintes fois évoquée pour une révélation courant 2022, voire 2023, la future compacte de Palo Alto devrait encore se faire désirer pendant quelques années, tant l’ambitieux plan produit d’Elon Musk accumule les retards. C’est la rançon du succès.

Il faut dire que Tesla a d’autres chats à fouetter, ses usines tournant déjà à plein régime, quand certaines viennent tout juste de sortir de terre, à l’image de la Gigafactory de Berlin qui devrait prochainement entamer l’assemblage du Model Y. Les carnets de commande sont donc pleins à craquer et l’implacable logistique prend le pas sur le développement des nouveaux projets. Du moins, elle les repousse aux calendes grecques.

C’est notamment le cas du Roadster, révélé en 2017, et initialement programmé à la production en 2020… avant d’être repoussé à 2022. Mais en septembre dernier, Elon Musk avait une fois de plus douché les espoirs des fanatiques de la marque en déclarant sur Twitter que sa sortie serait plutôt envisagée pour 2023, si l’année 2022 se déroule bien. Croisons les doigts.

Dès lors, ces multiples reports, signes d’une excellente santé du constructeur, ne favorisent pas le développement d’un modèle encore plus abordable tel que la Model 2. Avant que celle-ci ne débarque, probablement pas avant 2025, voire 2026, Tesla aura encore eu à bâtir une tripotée de Gigafactory capables d’absorber de très grandes cadences de production. 

Des problèmes de riche, probablement enviés par de nombreux constructeurs historiques s’engageant tout juste dans la voie de l’électrification, et devant encore maintenir leurs activités thermiques en déclin. En attendant, ces derniers se félicitent du report de la Model 2 pour avancer leurs pions sur un segment encore inexploré par l’épouvantail Tesla. Mais pour combien de temps encore ?

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5 commentaires

  1. Il n’y a rien à commenter, sinon un article pour rien sans aucune information, juste du blabla pour remplir des pages…
    S’arrange pas Teslamag…

  2. Arlesiène comme la S plaid+, le semi, le cybertruck, le roadster et maintenant les S et X qui ne sont plus en vente… ajouter a cela des 3 et Y livrees non finies avec des elements manquants sans prevenir le client…

  3. Attention à ce que vous dites.
    Vous affirmez qu’il faut débourser 50.000€ au minimum pour s’acheter une Tesla ce qui veut dire >ou= a 50.000.
    Pour ensuite dire vendu près de 50.000€
    Pour rappel 43.800€. 6.200€ de marge de différence entre vos propos et la réalité c’est une marge de 14,15%.
    Mais vous le saviez déjà.
    Si vous souhaitez etre plus crédibles, et que l’on suive l’actualité de Teslamag merci d’eviter ce genre de coquilles

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