Chers conducteurs de bolides électriques, attachez vos ceintures (et vos câbles de recharge), car on va plonger dans une aventure hilarante au pays des bornes GreenYellow. Ils vous promettent une recharge rapide, écolo et pas trop chère, mais dans la vraie vie, c’est une tout autre histoire. Voici cinq raisons pour lesquelles recharger chez GreenYellow, c’est comme jouer à la roulette russe avec votre batterie – et votre patience !
1. Une recharge rapide ? Plus rapide à dire qu’à faire
GreenYellow clame haut et fort que leurs bornes sont là pour vous remettre sur la route en un rien de temps. Sauf que ce « rien de temps » ressemble plutôt à une éternité quand votre voiture reste branchée à 10 kW au lieu des 150 kW promis. Vous aviez prévu une pause café ? Préparez-vous à ouvrir un roman, parce que votre Tesla va prendre son temps comme un touriste en vacances. Recharge rapide, qu’ils disaient…
2. Écolo, oui, mais votre portefeuille pleure des larmes fossiles
Chez GreenYellow, on vous vend une électricité « verte », issue de sources renouvelables. Très bien, sauvons la planète ! Mais quand vous voyez le tarif – parfois flirtant avec les 0,50 € le kWh selon les stations –, vous vous demandez si cette énergie ne vient pas d’un puits de pétrole déguisé en éolienne. À ce prix-là, autant rouler au charbon, ça fera moins mal au cœur.
3. La borne qui joue à cache-cache
Vous arrivez sur le parking, plein d’espoir, et là… où est la borne GreenYellow ? Parfois mal indiquée, parfois planquée derrière un buisson ou un camion de livraison, c’est une chasse au trésor grandeur nature. Et quand vous la trouvez enfin, surprise : elle est en panne, ou pire, déjà squattée par un type qui recharge tranquillement depuis deux heures. Préparez vos jumelles et votre patience, ça va être sport !
4. L’appli GreenYellow : un crash test grandeur nature
Pour lancer la recharge, il faut passer par leur application. Simple, en théorie. Mais en pratique, c’est une odyssée numérique : bugs à répétition, connexion qui rame, et des messages d’erreur dignes d’un film de science-fiction. « Veuillez réessayer dans 5 minutes »… ou jamais. À ce stade, vous regrettez presque l’époque où il suffisait de mettre une pièce dans la machine pour avoir un café.
5. La solitude du rechargeur abandonné
Vous pensiez que recharger chez GreenYellow serait une expérience conviviale ? Détrompez-vous. Les bornes sont souvent isolées, loin des commodités, et sans un banc ou une poubelle à l’horizon. Vous voilà seul avec votre voiture, à contempler le câble comme un philosophe en pleine crise existentielle. Et si jamais vous avez besoin d’aide, bonne chance pour joindre le service client – autant envoyer une bouteille à la mer !
Conclusion : GreenYellow, ou le jaune du warning ?
Alors, faut-il éviter GreenYellow comme la peste ? Disons que si vous aimez les défis, les surprises et les factures qui piquent, c’est l’endroit parfait pour vous. Sinon, cherchez une borne plus fiable ou investissez dans un vélo – au moins, vos mollets ne vous factureront pas le kWh. En attendant que GreenYellow passe au vert fluo de l’efficacité, on garde le sourire… et on roule à l’économie !