Parc auto

Gestion d’une flotte auto professionnelle : 3 conseils de PRO

Au cœur d’une conjoncture économique difficile, les coûts de transport liés aux véhicules peuvent peser sur le budget d’une société. Il est donc compréhensible pour les entrepreneurs de vouloir améliorer la gestion de leur flotte automobile.

Ils peuvent par exemple s’informer auprès de flotauto, dont le métier consiste à aider les professionnels dans le cadre de l’optimisation de leur parc automobile.

1- Assurer le parc automobile

L’assurance auto n’est pas moins obligatoire pour les particuliers que pour les professionnels. Nos experts le savent : la prime d’assurance idéale est celle dont le montant est le plus intéressant pour votre budget.

L’erreur serait bien sûr d’assurer chaque véhicule indépendamment des autres. Même si cela peut paraître évident, il convient de rappeler que les entrepreneurs peuvent souscrire un seul et unique contrat. Celui-ci est alors en mesure de couvrir l’intégralité des véhicules d’un parc.

Les cotisations prévues par ces contrats sont calculées d’une année sur l’autre, en fonction des accidents et des dépenses de l’année qui précède. Notez que les assurances auto sont généralement plus chères en zone urbaine qu’à la campagne, information que vous pouvez découvrir plus en détail en demandant conseil !

2- Composer avec la fiscalité

Il faut savoir que la fiscalité pèse plus de 20% sur le TCO d’un véhicule, donc sur une flotte tout entière. Il est donc important de la prendre en compte avant même de faire l’acquisition des éléments de votre parc automobile. Plusieurs taxes sont à connaître :

  • Certificat d’immatriculation variable : il correspond à plusieurs taxes additionnées entre elles, à savoir les taxes régionales, de gestion, pour les formations professionnelles de transport, et d’acheminement. C’est surtout la taxe régionale qui en fait varier le montant, puisqu’elle dépend du conseil général de la région où elle s’applique.
  • TVA : elle peut être déductible si vous achetez ou louez des véhicules spécifiques. Les véhicules de société, de transport de salariés, les industriels, agricoles ou encore utilitaires sont concernés.
  • Bonus-malus : le principe consiste à récompenser les bons comportements vis-à-vis de l’environnement. Les flottes qui émettent moins de CO2 sont récompensées, tandis que les plus polluantes sont pénalisées. L’idée est d’inciter à l’achat de modèles neufs dont les émissions de gaz à effet de serre sont limitées.
Lire également :  Voiture électrique : quel impact sur le marché de l'après-vente ?

Demandez conseil à nos experts pour plus d’informations.

3- L’optimisation des coûts par le gain de temps

Plus une société est grande et étendue, plus il devient difficile pour celle-ci d’assurer une bonne gestion de son parc automobile. Parfois, elle est même laissée entre les mains d’un collaborateur dont ce n’est pas la principale fonction. Ce dernier utilise alors des tableurs Excel ou d’autres logiciels de base, qui ne permettent pas une réelle optimisation. Une pratique que n’est a priori pas conseillée par nos experts.

Il existe cependant des logiciels performants, qui permettent de gagner énormément de temps et d’efficacité. L’intérêt de ces outils est double, car ils permettent d’une part d’automatiser certaines tâches telles que l’intégration des factures informatisées, ou la récupération des kilométrages. D’autre part, ils favorisent une meilleure appréhension des coûts par véhicule. Les assurances, les taxes, la maintenance, la rentabilité d’un achat ou le coût d’une location sont mieux visualisés par l’entrepreneur.

Vous l’aurez donc compris, un bon logiciel vous ôtera l’épine du pied. Certaines sociétés spécialisées proposent ce genre de service, il peut donc s’avérer intéressant de consulter leurs offres. Avec nos experts, vous pourrez notamment vous renseigner à propos des prestataires les plus adaptés à vos besoins.

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