Un constructeur sort ses griffes
Jaguar ambitionne de créer 5000 emplois en Grande-Bretagne. Le groupe propriétaire, Jaguar Land Rover (JLM), explique cette possibilité notamment par le déploiement du véhicule électrique (VE) dans ses gammes, dont le I-Pace attendu en 2018, mais aussi par la santé insolente de la marque au félin, dont les ventes ont bondi de 77% en 2016. Ses VE seraient donc « Made in England ». JLR est depuis 2008 la propriété du groupe indien Tata Motors.
Un Bibendum chez les caribous
« Movin’On by Michelin », c’est le nom de ce Davos de la mobilité qui s’est tenu courant juin à Montréal. Michelin tient cet événement depuis 20 ans mais lui imprime aujourd’hui une velléité internationale et, surtout, la volonté d’associer les pouvoirs publics. « La mobilité de demain ne pourra s’organiser sans la puissance publique, sans quoi ce sera le chaos », prédit Jean-Dominique Senard, président de Michelin cité par nos confrères du Figaro. Une bonne idée dont l’on a malheureusement déploré l’absence des principaux acteurs de l’électromobilité : pas de représentant de Chevrolet (seulement de General Motors, maison mère), ni Tesla, Nissan, Audi, Porsche, Jaguar, ni Renault, entre beaucoup d’autres. On remarquait simplement la présence de PSA, BMW, GAC Motors (Chine) et….Hyundai. Un choix surprenant.
Un grand Bond en avant ?
Aston Martin avait déjà dévoilé non pas une Rapide mais une RapidE, la version électrique de son bolide. C’était un prototype, il y en aura finalement 155 unités qui seront commercialisées en 2019. A voir d’ici là dans le prochain opus de James Bond actuellement en tournage ? Dans tous les cas, Aston Martin avance à pas fort mesurés sur un marché où sont déjà positionnés ses concurrents, notamment Tesla, Audi ou Jaguar.
