Une nouvelle fonction pour tous
Depuis le mois d’octobre, Tesla permet à ses clients de recevoir la fonction d’auto-pilotage.
Cette aide à la conduite permet d’assister le conducteur sur autoroute, d’effectuer des changements de voies, de suivre des courbes . Ce système fonctionne aussi bien sous la pluie, la neige ou le brouillard. Tesla recommande cependant de ne pas lâcher le volant pendant cet auto-pilotage, le conducteur étant à ce jour, toujours responsable de son véhicule.
L’annonce d’Elon Musk
Le logiciel pouvait fonctionner jusqu’à maintenant qu’aux USA . Désormais cette fonction sera utilisable dans le monde entier, hors mis au Japon, où le procédé est encore à l’étude .
Elon Musk a annoncé, par l’intermédiaire d’un tweet, le 24 octobre dernier, la bonne nouvelle. Il a également annoncé que la version 1.01 du logiciel allait être rapidement déployée. Ce correctif du logiciel améliore sensiblement les performances du pilotage automatique : meilleure adaptation de la vitesse en courbes et de la tenue de route sur les mauvais revêtements.
Le fonctionnement
L’auto-pilotage est rendu possible grâce à plusieurs éléments combinés : le GPS, un système de radars, une douzaine de capteurs à ultra-sons ainsi que des caméras.
« Auto-pilot » permet aussi: l’adaptation de la vitesse par rapport à la circulation, l’évitement de collisions à l’avant ou sur les côtés, ainsi que la prévention de sorties de routes. Il peut aussi alerter le conducteur lorsqu’une place de parking est disponible et faire le créneau pour lui !
Une avancée futuriste
Ce qui est très intéressant dans ce système c’est que les « Tesla » peuvent communiquer entre elles car le réseau permet d’envoyer des informations entre les voitures. Cette possibilité ouvre certainement de grandes perspectives! Il est à noter que cette fonction est tout à fait propre à la marque. Cette option est disponible sur les modèles S et X .
L’heureux propriétaire devra tout de même s’acquitter de 2500 dollars pour avoir le droit d’utiliser ce beau joujou !
Elon Musk a avoué que la conduite totalement automatisée prendrait encore quelques années, mais que la voie était ouverte pour que, « demain », la voiture devienne autonome !